dracula.jpg Rhâaaaaa, Dracula.... Je viens enfin de terminer ce roman, acheté il y a quatre-cinq ans pour un cours d'anglais où nous devions lire un ouvrage au choix en vo et le présenter. Je m'étais dit que lire Dracula était un bon sujet, que ça tombait bien car je ne l'avais pas lu en français, etc. Autant vous dire que, par chance, un ouvrage jeunesse à la couverture un peu particulière -recouverte d'une sorte de tissu tout doux- avait également retenu mon attention (ok, j'avoue, il était question d'une histoire de guerre des chats et chaque numéro de page était surmonté d'un petit squelette de sardine, miam) car mine de rien lire un ouvrage jeunesse en anglais contemporain prend beaucoup moins de temps que de lire Dracula (eh non, je n'aurais pas opté pour une lecture en français, c'était mon défi en anglais).

Bref, tout ça pour dire que Dracula, je l'ai grignoté, avec plaisir. Parce que plonger dans Dracula et son ambiance ancienne -un petit peu guindée- me transportait dans une autre époque. A l'heure où la Bit lit renfloue les caisses éditoriales, il est amusant de lire ce roman épistolaire et de suivre le combat des victimes du comte Dracula. Au départ, le lecteur suit l'ordinaire correspondance de deux jeunes femmes, Lucy et Mina, puis le périple de Jonathan, avant de se concentrer sur le combat à proprement parler contre Dracula. Stoker met ainsi habilement en place tous les éléments qui retiendront l'attention du lecteur : des sentiments, de la peur en crescendo, du suspense et du fantastique ! J'ai mis du temps à lire ce texte fondamental mais je recommande sa lecture en vo, question d'ambiance. La forme du récit permet une lecture étalée et une fois que l'on s'est habitué aux formes un peu anciennes de la langue employée, la lecture est assez aisée (croyez-moi, l'anglais et moi n'avons pas connu de belle histoire d'amour).

Pas d'extrait aujourd'hui mais un lien qui vous permet de trouver le texte du roman de Bram Stoker.

Grimmy